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LUXURE & VOLUPTE.

2009 octobre 10 Samedith à 11:13













- Les éponges on les rince sale deg.
- C'est vrai ça.













2009 septembre 24 Jeudith à 20:11


C'est comme ça que je me suis retrouvée encerclée d'hommes d'affaires. Bien plein de saveur. Professionnels sur eux, sur leur montre à cadran tourbillon et par leurs empruntes cirées au sol.
La senteur à pois de la foule différente..
C'était fou comme l'intégrale était commune à ces personnes toutes d'opposé semblables.
Et comme ça pouvait me répugner aussi. Electrochoc ponctuel qu'était la peur de l'inconnu. Surtout celle de se dire qu'hypothétiquement bien on était en proie à un complot qui visait la masse toute entière. Comme si le monde s'était donné rendez-vous pour échapper à la déprime abominable du reste de lui même. Et que j'en étais évidemment pas tenue de l'apprendre. Bref.
Fallait juste suivre les troupes colorées et pas poser de questions.










 

2009 septembre 24 Jeudith à 19:50


Y avait et y a encore des photos d'elle sur les murs astre océanique virant néon des cliniques obscures aux excès de bactéricide. Y avait la pousse en terre qui poursuivrait sa route de boue -parce que ce mot venait de moi.. Et toujours la douleur au crâne, les rumeurs et sa colère si pâle.
Des relants de clavier scientifiques et le compte résultat : Trois morts, dix sept comas, et trente six départs pour l'asile. 
L'échec au score. Un quatre vingt onze, quelques lettres en moins, on savait plus. Mars dans nos ventre à toutes les deux, une prédiction qui rappelait les souvenirs enterrés.
Des markers au teint si doré.. Etalés ça et là sur une rondelle arbolesque.
Terre, sentiments rouges, étoiles par milliers, vitamines. 
Kumeath qu'on aurait du effacer.
Les acidités à répetition. Du singulier sur nos membranes fines.
Un pronom capitaliste et sans fric.
L'osmose totale m'avait-on lancé..





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2009 septembre 24 Jeudith à 19:33



Une brêve décryptant rhum steak et un fou discours interactif n'est-ce pas.


-C'est bon si j'y suis à 20.40 ?
-Oui. T'auras mangé ?
-Non mais j'ai des barres de céréales donc c'est pas grave. Et puis  t'inquiètes pas, je peux m'arrêter au Mac Do, merci.
-Est-ce qu'avec Camille vous pouvez être à 16.20 au ciné ? Parce que je prends le train à 17.15..
-Moi c'est bon, demande à Camille.
-Ok.
-Est-ce que c'est bon pour toi si on se dit 16.20 devant le ciné ?
-16.20 ? D'accord ! Nina est au courant ?
-Non mais je t'attendrai pour bouffer.
-Oui, merci à tout à l'heure.
-Ok. Tu peux me dire exactement quel nom porte la rue au-dessus de l'arrêt Ampère s'il te plait ?
-16.20 c'est bon !
-J'irai te chercher.
-Ok. Je fais de mon mieux mais je garantie rien. On va boire en face de la gare ? Ce sera plus simple non ?
-Ok donc 16.20 au bar ! Je tiens Camille au courant.
-Tu peux le dire à Camille s'il te plait j'ai plus son numéro.
-Merci.
 

Pour la nouvelle version on aura choisi un ensemble plus compact..


-Merci, ça va bien ! J'ai eu prérentrée Jeudi, là je suis dans le train direction Perrache où Guillaume vient me chercher, je reste deux jours chez lui, la journée à Saint Priest pour des tests de sécurité qui vont durer toute la semaine. Je rentre Mercredi, remonte Jeudi matin,  dort chez Nina le soir et rentre Vendredi en fin d'après-midi ! Et les cours commencent le 29..


Donc on annule la séance à notre plsu grand bonheur.
Pratique de l'organisation.











 

2009 septembre 19 Samedith à 4:25


Et là s'inspirait un ton vicieux et intense qui hurlait calmement de poser l'écriture sur le sol plastique à curseur animé. Chose accomplie. Sur un air de Jack Johnson, good people, banana pancakes, crying shame, un trait d'accent, des paroles pleines de vrac qui me trimballent ici et là sans que je ne cherche plus à capter quoi que ce soit. C'était parti quelques heures plus tôt. Avouer tout. Quoique.. Tout avouer eut été de saveur à croquer. Des arrangements avec la vie aux coupes de pas timides. Qu'on nous dévisage, qu'on nous révèle. Qu'on trucide l'organe de coeur, qu'on y sème des granules de viande rouge, qu'on broit mes souvenirs, leur sens est dans le corps tout entier. Teint de croix, les quaies sur le bitume, qu'on nous en aille par saturation. Et le retour sera.







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2009 septembre 18 Vendredith à 12:16



Bon et y a peut-être des trucs vicieux écrits en minus razibus sous les toutes dernières lignes sur chaque page qui m'ont échappés, sans doute aussi avec des moches astérixes toutes pourries qui mentionnent en microscopique que l'offre est valable uniquement sous telle ou telle condition mais alors si c'est le cas..
 
F**K SA MERE.
 
Hihhhha.






2009 septembre 12 Samedith à 22:14



Flottait au-dessus du clavier de plastique carbonisé une vague brume de tempes. Du lin sur le visage pour couvrir sa peine. Les connexions éventuelles toutes déshabillées pour ne plus sentir le spleen bien étalé sur toutes ses joues brûlantes de larmes. Elles avaient su ne pas anticiper, penser au présent, foutre le futur dans la case noire. Les chouquettes c'est dégueulasse. Certes la tringle le suspendait mais tout était prévu pour capter le bon, la saveur, la rue Clément, là-bas, avancée dans l'avenue sombre. L'ombre dansait sur son corps inerte, le tableau était pathétique et irrésistible. La lutte inexistante. Les draps sentaient la marguerite, quelle affreuse idée. Mais on l'aura scindée, brisée, et arrachée. Foutue là sous ce cadre de verre. Au-dessus de la cache. Sobriquet, poésie, pirouette. Je m'en tape. Vide actuel. L'algue tombée du cintre..



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2009 septembre 6 Dimancheth à 1:13


Et le devoir serait là à me traquer. A déclancher l'avalanche dans les alentours de la zone occipitale, ou quelque chose comme ça. Marc Lavoine, le Mac Do, Ronald's, le design, l'ivresse. C'est tout nous. Question de géographie, qu'on s'y connaisse ou pas. Piquées par les épingles à tête plastique sans valeur extérieure. Vautrée contre un mur robuste et graniteux, qui rape et qui rend bien. Une marque au stylo, peu importe le contour, le trait, son origine, la mise en forme, notre démence. Fire. Tarantino et sa transmutation. Parce que c'est lui, hé. Tarantino. Classe. Méritoire et satané. On a hurlé de l'intérieur, l'écran nous écroule. Nous blame. Nous vire au pire. Alors on a hurlé encore. Dans la rue cette fois. Et l'éthiylotest on lui aurait niqué sa mère t'as vu. Ah, les appuis. Manque de stabilité, belle paire de santiagues. Escapade sans retour de prévu, Maixant. On sait rendre aux commerces leur arnaque brillante, la tricherie et autre mise en garde. Ce rêve dans lequel je pleurais. Invasion du pouvoir exécutif et larmes. Un arbre immense, la plus basse de ses branches. Les racines qui tenteront non pas en vain de prendre forme en ses hauteurs, tel les saules. Passons. Décès prématuré ou juste programmé, quelque part entre les côtes, les quadriceps, les cervicales et le baudrier. One day.



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2009 septembre 1 Mardist à 14:38




Néophyte déambulant dans les couloirs vides plein de silence et croulant sous ces poussières de craie pure et végétale encore. Transmutation alchimique et métaux désargentés. Huile moteur et Haribo. Ecrire qu'on est dépourvue de pensées ou à titre juste créer l'effet inverse. Tendance ou us, discipline, blablabla prononcé comme au cinéma, le bonhomme stéréotypé, patriotisme et bribes de tissu décousues entièrement. Cinq heures, un haut verre d'accalmie, quelques particules de quiétude. Plastique des enfances réduites à néant et qui hurleront vers nos faces tout appauvries. Etudes tout en persévérance d'un paquet déchainé de brouillons excellents, qui ont l'utilité nulle et le pouvoir seul de rythmer une décharge irrégulière tellement intense. Réciprocité et confusion. Modestie excessive et autodestruction. Générosité passée pour démence et bravour stupéfiante. Oasis à notes et dièzes. Assurance sous discrétion, manque de confiance soit réservation de la personnalité puissance initiatives prisées zéro. Cruauté vitale. Après tout c'est un non choix, ou bien
alors une usurpation..



 
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2009 août 31 Lundist à 11:45

 

    31 août, à 10:18
 
What ? i know it, thank you.. But.. Let me fly.. Je comprends pas. Je ne sais pas comment tu fais. Tes phrases sont rythmées par des termes classes et secouées complètement par des précipices. J'arrive jamais à tout intégrer ni à crever le sens que tu éparpilles tout partout. Alors.. Ben, comment je peux faire ?
Réponse dans l'absolue et la précipitation, réponse pourvue de hasard et des frelons qui rodent ici.
Ma phrase, ta pensée, synonyme encore de ce micro embuage d'encéphale, c'est simplement bien en rapport avec une pesonne mais alors c'est ouf comme c'est indirect. Y a pas à chercher très loin, la signification est à portée de main. Tout près, regarde. JUSTE DERRIERE TOI.
Tu finiras toi aussi par y arriver.
AHAHAHAHAHAHAHAAAAAAA ! -ou dois-je écrire HiNHiNHiNHiNHiNHiNHiNHiNHiNNN :D

    Crush.


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